Gauthier.
Plus que tout au monde, j'aimerais te parler,
Discuter, de ces petits riens qui nous ont liés,
Voir un large sourire animer ton visage
Discerner dans ta voix quelques heureux présages.
Plus que tout au monde, j'aimerais que tu saches
Combien tu comptes pour moi, et comme il me fâche
De me dire que peut être tu ignores,
Que tu es un camarade, un ami, un trésor.
Plus que tout au monde, j'aimerais lire dans ton regard,
Des Certitudes, des Bonheurs, des Espoirs,
Toutes ces joies existentielles qui naissent spontanément
Du quotidien, et de sereins instants.
Plus que tout au monde, j'aimerais effacer
Ces heures indescriptibles d'horrible Vérité,
Cette pesante absence qui ne fait qu'amplifier
Cette lente agonie de l'amie oubliée.
Adieu Gauthier, mon camarade, mon ami, mon trésor. Tu me laisses, avec ces questionnements, cette incompréhension et cette douleur atroce, de n'avoir su, de n'avoir pu. Je t'aime tellement, si tu savais. Et peut être était-ce le cas. Plus que tout au monde, j'aurais aimé que tu ne te sentes pas si seul. Plus que tout au monde, j'aurais aimé que tu parles, que tu cries, que tu hurles.
Plus que tout au monde, je voudrais que tu sois encore là.
Plus que tout au monde, j'aimerais te parler,
Discuter, de ces petits riens qui nous ont liés,
Voir un large sourire animer ton visage
Discerner dans ta voix quelques heureux présages.
Plus que tout au monde, j'aimerais que tu saches
Combien tu comptes pour moi, et comme il me fâche
De me dire que peut être tu ignores,
Que tu es un camarade, un ami, un trésor.
Plus que tout au monde, j'aimerais lire dans ton regard,
Des Certitudes, des Bonheurs, des Espoirs,
Toutes ces joies existentielles qui naissent spontanément
Du quotidien, et de sereins instants.
Plus que tout au monde, j'aimerais effacer
Ces heures indescriptibles d'horrible Vérité,
Cette pesante absence qui ne fait qu'amplifier
Cette lente agonie de l'amie oubliée.
Adieu Gauthier, mon camarade, mon ami, mon trésor. Tu me laisses, avec ces questionnements, cette incompréhension et cette douleur atroce, de n'avoir su, de n'avoir pu. Je t'aime tellement, si tu savais. Et peut être était-ce le cas. Plus que tout au monde, j'aurais aimé que tu ne te sentes pas si seul. Plus que tout au monde, j'aurais aimé que tu parles, que tu cries, que tu hurles.
Plus que tout au monde, je voudrais que tu sois encore là.
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